Pour :
Chroniques reprises, ou citées, de temps à autre,
historiquement, aux liens suivants :
CHRONIQUE économique « FINANCES –
VERITES »
N°156
errare humanum est, PERSEVERARE DIABOLICUM
LOI D'A.D.L.
MARTIN D. de M.
basée sur celle de
POL GARGAM
valant INCIPIT
PERMANENT :
1) L'économie générale est l'ensemble des échanges de travail, biens et services entre
personnes physiques et/ou morales,
2) L'économie financière est l'ensemble des échanges de capitaux entre personnes physiques et/ou
morales, exprimés en biens ou en monnaies, lesquels peuvent, ou non, constituer
les contreparties des échanges de l'économie générale,
3) L'économie monétaire est l'ensemble des flux de monnaies émises ou détruites, constituant,
ou non, les contreparties des échanges généraux ou financiers, et possédant
obligatoirement les qualités monétaires requises : d'identité rigoureuse,
d'inaltérabilité à l'infini, de fractionnabilité et de fongibilité. La monnaie
est toujours concrète sans préjuger de ses représentations abstraites, alors
toujours convertibles à 100%.
POSTULAT : Toute confusion entre une économie et les deux autres abolit toute
validité au raisonnement exposé de n'importe qui, n'importe où et n'importe
quand. C'est la raison des trois parties toujours distinctes de cette chronique.
Mercredi
18 NOV 2015
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Mademoiselle,
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Pendant que les
étrangers débarquent avec l'exigence de se faire entretenir, démontrant leur absence
totale d'éducation et de savoir-vivre, mais aussi leur méconnaissance totale de
la situation économique du Pays, des Français crèvent de faim et de froid, en
France ! Le Ministre des Cultes, de la Police et de l'Intérieur va serrer la
main de ces envahisseurs prétentieux et criminels souvent. Il les loge en
Châteaux ou en hôtels 1 à 3 étoiles NN. Dans le même temps, il ordonne la
poursuite de tout Français, de souche depuis des siècles peut-être, qui ose
seulement menacer de se défendre chez lui avec un fusil, comme la femme de Calais...
Pourtant, aux prises avec les ressortissants menaçants de "la
jungle", cette française défendait sa mère visée chez elle Une vieille
dame avec moins de revenus par mois que ces mêmes étrangers se voient promettre
incontinent par le Ministre CASE-VIEILLE, à la cervelle CASE-VIDE, avec l'alibi
de sa législation-réglementation VIDE-GRENIER.
Tout le Gouvernement de
LA République et son administration, marche actuellement sur la tête, renversé
pas son sectarisme. Il oriente la politique, incite les oligarques, obéit aux
banques, pour privilégier les grosses entreprises para étatiques, autoriser les
vols et extorsions bancaires dans les comptes des clients, les rattrapages de
prix sur des factures émises et payées par "les petits" depuis des
années, par EDF et d'autres...
Bref, pour l'État et
ses collectivités subsidiaires, la politique se résume à :
« étranglez les petits, rassasiez les gros !… »
1) Dans l’ACTUALITE
économique générale :
« ECO1 : raréfaction du travail pour les français
!… »
Jacques MYARD dénonçait,
le 5 Novembre dernier, le dumping social et la concurrence déloyale sur le
chantier du BOURGET de la construction des locaux prévus pour la réunion, dite
COP21, avec des travailleurs étrangers payés 70 euros pour 12 heures de travail
par jour, sans aucune "cotisation" sociale. Les entreprises
françaises dans les règles, ne récoltant que des miettes du marché pourtant
"public" ! Comment a-t-il été attribué ? Eh ! Bien, en obéissance à
une directive européenne de... 1996, âgée de près de 20 ans ! Le député à
l'Assemblée Nationale, très républicain et dailleurs adhérent du parti
"Les républicains", ce que je ne serai jamais, va tout de même dans
le bon sens en réclamant que soient déclarés d'ordre public, donc payables en
France, toutes les "cotisations sociales" de tous les salariés y
venant travailler. Je suis d'accord là-dessus.
Mais comment cette
réclamation pourrait-elle aboutir dans un Pays gouverné majoritairement par des
fonctionnaires qui obéissent à n'importe quel ordre téléphonique d'inconnus et
virent, séance tenante, 600.000 euros des caisses du "trésor public"
vers un compte à l'étranger ? Ceci se passa à Boulogne-sur-Mer le 19 Octobre
2015, il y a donc un mois. C'était un Roumain qui avait besoin de sous... Un
détournement de fonds qui se faisait au détriment de la cantine du Centre de la
mer NAUSICAA, si j'ai bien compris. Le régisseur, un nommé B.B., se mettait
l'argent dans la poche, rapportait NORDACTU, titrant : " Boulogne-sur-Mer : une ville à la dérive
" ! Et pourtant, une ville éminemment historique comme vous le verrez rappelé
dans leur article. Bref, voilà un de nos ports qui... prend le large, dans
l'étroit CHANEL. C'est encombrant pour la circulation maritime et dommageable
pour les échanges économiques, et la vie sociale, du littoral !
Le résultat de toutes
ces trahisons, épuisantes pour notre travail français, légué depuis des siècles
par nos aïeux, et encore fourni par nous-mêmes dans les années soixante à
quatre-vingt-dix, se résume en trois chiffres communiqués par LE SECOURS
CATHOLIQUE dans son rapport annuel, également daté du 5 Novembre dernier :
1- 535 euros = le revenu médian mensuel
des 600.000 personnes reçues par cette organisation charitable en 2014. Dingue
! En cette même année dernière, le revenu moyen des 2,1 millions de personnes
en détresse en France est de... 667
€/ mois et par personne. J'ai donc de la chance avec 730,30 € mensuels depuis
le 1er Octobre, par augmentation de mes retraites de... 0,38 € (trente huit
centimes... depuis 4 ans) ! MERCI aux escrocs publics : syndicaux, politiciens,
oligarques et autres !
2- 43 ans est l'âge moyen des
demandeurs d'aide. Les 25-39 ans sont toujours plus nombreux. A des âges où,
normalement, on est en pleine possession de ses capacités physiques et
intellectuelles de travail, pourtant !? Quant aux 50-60 ans, abandonnés de tous,
et surtout de leurs représentants "zélus" et "fonctionnâtres",
ils arrivent là sans plus aucun espoir... Leur détresse, réelle, est muette,
malheureusement pour eux.
3- 33,6% des personnes reçues par cette
organisation chrétienne aux racines multiséculaires sont des étrangers.
Donc : 66,4% sont des Français... ( Source ? LE MONDE.FR. Titre : "La progression de l'extrême
pauvreté en France" ! Signé : Sylvia ZAPPI )
La conséquence : alors
que les Français restent stoïques, polis et honnêtes, en général, dans leur
malheur, les étrangers se conduisent majoritairement en France en Pays conquis
et pillent les magasins en bandes organisées de 150 "djinns", comme à
TOULOUSE dernièrement, que n'aurait pas désavoué Victor HUGO dans ses
"Orientales". A Toulouse, des perquisitions juteuses sont opérées en
ce moment, avec l'excuse invoquée officiellement, des attentats de
Paris. De manière plus difficile à évaluer, les voleurs agissent aussi individuellement
par "vol à l'étalage" (24%) ou par des employés (35%). Les magasins
se seraient vus voler, en 2014, pour 3,5 Milliards d'euros selon "Check
Point Systems", soit 0,81% de leur Chiffre d'Affaires total annuel. Bien
que ces vols soient en baisse sur 2013 chiffrés à 4,4 Mds € et 1,03 %, LE
PARISIEN indique que les commerçants répercutent cette charge sur les prix
jusqu'à avoir coûté à chaque foyer français : 124 euros en moyenne l'année
dernière (2014) ! Or, pourtant les assurances sont des frais financiers
déductibles de l'I.S., de même que les provisions pour pertes et charges
diverses ? Cette manie actuelle, partout chez les commerçants, de vouloir à
tout prix continuer à gagner autant en faisant payer ainsi doublement aux
clients leurs "frais généraux" est inadmissible, et conduit
inévitablement à une baisse de la consommation donc... des chiffres d'affaires
! CQFD.
Conclusion d’ECO
1 : En économie générale on voit donc clairement que la raréfaction du
travail des ouvriers, employés et techniciens du secteur privé touche d'abord,
et en majorité, les Français sous le coup de l'invasion d'étrangers importés par
l'oligarchie pour occuper les emplois qu'ils sont en droit d'exiger en France.
Cette perte d'emplois conduit à une baisse de la consommation et donc des
chiffres d'affaires des entreprises qui se trompent en augmentant leurs prix,
alors qu'elles devraient les baisser ( EDF en est un énorme exemple désastreux
! ). La pauvreté des travailleurs, aboutit à une détresse des sans-emploi ! La
détresse augmente la pauvreté. Et, outrancièrement, cette pauvreté est
accentuée par deux chiffres : 1.360 euros de rémunération dans le secteur privé
et 2.460 euros dans le secteur "public", en moyennes ! Les hausses
d'impôts sont telles, et en voie d'être prélevées à la source pour les assurer,
étranglent complètement la consommation finale des privés dans le secteur privé.
Je me demande même si toute l'économie commerçante
n'est pas en train d'être réservée aux fonctionnaires comme l'est depuis trop
longtemps le Crédit municipal. Le secteur "public" français agit
comme le cancer qu'il est dans le Corps social. Plus de la moitié de la France
bouffe l'autre moitié qui ne repousse plus... trop tondue qu'elle est !
2) Dans l’ACTUALITE
économique financière :
« ECO2 : raréfaction
du crédit pour les petits !… »
Cette semaine, "
toutsurmesfinances.com " pointait les montagnes russes secouant les
retraités avec des impôts locaux d'autant plus en hausses de toutes natures que
les exonérations des plus de 65 ans ont été supprimées par les socialistes. Ces
partisans sectaires, parfaitement antisociaux, qui ne rêvent que de rémunérer
toujours plus de fonctionnaires, et toujours plus en traitements moyens et
individuels, ont même inventé une taxe originale : celle sur les cabanes de
jardins ! Un poulailler ? Une cabane à outils ? Si la maire, républicain
obligé, obéissant au Préfet, son véritable "patron", n'a pas obtenu
du Conseil municipal une exonération par délibération officielle, vous voilà
taxé arbitrairement par le fisc républicain et... pas qu'un peu. Planet.fr rapportait
qu'un "imposé de force", un "contribuable" officiellement,
de l'Isle-Jourdain, dans le Gers, s'est vu exiger 1.182,67 € d'impôts pour une
cabane de jardin de 19 m2 servant à abriter ses outils de jardin et son
poulailler, achetée 1.690 euros dont... 288,67 € de TVA déjà ( 1.401,33 € HT )
!!! Pour un abri de jardin encore de 8 m2, un autre dans le Finistère s'est vu
taxé de 250 €, un autre dans les Côtes d'Armor de 500 € etc... DINGUE !
Pour payer toutes ces
taxes parfaitement arbitraires et abusives, les salariés moyens du privé sont
obligés d'emprunter aux banques. Ou alors, même de tenter de gager le
chandelier en "Étain à la Rose", le stylo en Or de la Communion
Solennelle, ou le fusil de chasse, qui ne servent plus forcément, sur lesquels
le Crédit Municipal ne prête que 2,5 à 7% maxi de la valeur de remplacement,
autant dire... rien ! Et, en plus, avec 12,5% /an d'agios, tout compris - ce
fut pire ! -, composés en plus tous les six mois... Quand au crédit bancaire,
le " Conseiller chargé su suivi de
votre compte " vous répond qu' " il ne peut accompagner votre projet de crédit " restructurant
vos mensualités, avec une augmentation de l'encours au vu de vos retraites, ou de
votre précaire CDD, ou encore de vos revenus qualifiés "de survivance"
car inférieurs au minimum vital des fonctionnaires de 2.460 euros de moyenne.
Quand au pouvoir politique, inutile de compter sur autre chose que ce qu'il
impose de rappeler partout, et même sur le site du Crédit Municipal de BORDEAUX
: " Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de
remboursement avant de vous engager " ! Elle est bonne celle-là,
" isn't it " (n'est-il pas ) ? Un "prêt sur gages" est
assimilé à un crédit de confort, librement délibéré... Alors qu'il est
officiellement un "dépannage d'urgence ". DINGUE !
Comme je suis connu
pour mon caractère serviable, et en toutes circonstances d'humeur égale, je sors
de mes gonds facilement tous les jours. Je pique une colère qui ne pourrait
s'apaiser qu'en tapant sur la gueule des Hollande, Valls, SARKOZY, FILLON et
autres, toutes tendances confondues, s'ils passaient à ma portée, lorsque je
lis : " La situation du budget
de l'État " ! Au 30 Septembre 2015, je cite :
" Le solde budgétaire de l'État s'établit à -
74,5 Milliards d'euros ! COCORICO-CO-CO, contre -80,5 Mds € en 2014 même date,
donc en amélioration de +6 Mds € ".
Vous vous dites comme moi :
tiens l'État a fait des économies ? Ce serait bien... si c'était vrai ? Alors,
nous lisons un peu plus avant, méfiants :
" Les dépenses ont diminué de +2,7 Mds € pour
atteindre 275,3 Mds, contre 278 au 30 Septembre 2014 ".
Tiens, c'est bien... mais, ça ne
fait pas le compte des 6 précédents !? Alors, nous lisons un peu plus loin, de
plus en plus méfiants :
" Les recettes fiscales et non fiscales
s'établissent à +226,5 Mds €, contre 220,7 en 2014 ". Ah ! C'est donc bien
les impôts qui ont casqué les +6 Mds € de mieux sur le solde !
Et on vérifie plus loin :
" Les recettes fiscales nettes sont en hausse de
+2.5 Mds € " que vous avez casqué...
"Le produit de la TVA est en hausse de +3,5%
" que vous avez casqué aussi...
Puis, suivent deux tours de
magies dignes d'un Gérard MAJAX :
1- " Le traitement des déclarations fiscales
rectificatives (SDTR) sur les dossiers de mises en conformité des comptes à
l'étranger non déclarés a rapporté +2,9 Mds € "...
2 - " Les recettes non fiscales : +9,8 Mds contre +1,7
seulement en 2014, à la même date, grâce à un effet calendaire "...
opportun sur la "perception (NDLR : volée)" dans les dividendes...
Conclusion d’ECO 2 :
Quoi de plus normal, en effet, pour le plus gros dépensier de France, d'Europe
et du monde... que de rester en déficit perpétuel, couvert en permanence par le
cartel bancaire complice ? Quoi de plus normal encore que lesdites banques
obéissent à ses ordres pour exiger des petits qu'ils payent la monnaie inventée
par et pour l'Etat, avec tout ce qu'ils ont !? Et s'ils n'ont plus rien, avec
un recours de plus en plus étroit au crédit bancaire qui les empêchent les uns
après les autres de payer les extorsions mafieuses dites "publiques"
? Quoi de plus normal, toujours, que d'entendre le plus irresponsable, parce
qu'il est gros, exiger des petits qu'ils se laissent voler leurs biens par le
Crédit Municipal ? Je dis "volé" puisque le C.M. est autorisé dès le
départ à n'avancer que quelques pour cents de la valeur de remplacement des
biens qu'il confisque en magasin spécial, sous prétexte de gage... A la
première incartade du vilain débiteur privé " qui n'aura pas suffisamment
vérifié ses capacités de remboursements ", la vente à d'autres escrocs
légaux devient "légale" ! L'État,
lui, a le droit d'emprunter sans jamais
rembourser, mais pas nous... C'est bien nous "les cochons de
payants" comme disait ma grand-mère maternelle !
3) Dans l’ACTUALITE
économique monétaire :
« ECO3 : disparitions monétaires
enchaînées !... »
Rappelons tout d'abord
un premier enchaînement :
1963 : ma paye était en espèces
à la caisse. Quand on était licencié, l'expression en usage était donc fort
justement : "passez à la caisse", pour le solde dû, et adieu !
1973 : les fonctionnaires, les
"caisses" sociales, tout le monde payait et était payé "en
espèces" aux guichets ! Les queues s'allongeaient.
1980 : bancarisation à outrance
avec prolifération d'agences bancaires partout, puis progressive mais rapide
obligation d'avoir un compte en banque.
1995 : disparition des espèces
dans les "caisses", devenues vides, et règlements obligatoires par
chèques devenus "non endossables" depuis 1983, selon un décret de VGE
de 1979 instituant le pré barrement bancaire. La liberté de demander un
chéquier libre existe encore mais est devenue inconnue du grand public...
Résultat : la monnaie libre
disparaît, la nouvelle mauvaise monnaie, dite scripturale, a chassé la déjà
mauvaise, mais moins, dite fiduciaire, laquelle avait déjà chassé la vraie
bonne, multiséculaire, dont les derniers rejetons furent les pièces en Argent
sous Giscard : l'Argent-métal en pièces.
Vivant dorénavant
depuis plus de vingt ans avec un compte bancaire ultra contrôlé, limité,
encarté, avec des chèques pour enfants, devenant de plus en plus rares au point
que l'on parle de leur suppression, après plus de trente ans de guerre
bancaire, les gens n'utilisent plus guère les espèces que pour les petites
courses. Le Gouvernement continuant sa politique de complicité avec les banques
pour serrer les gens à la gorge vient de les autoriser à prélever des frais
mensuels de gestion dans les comptes des captifs. Les petits, car les gros ne
sont pas concernés, eux négocient... Conformément à une ancienne habitude
bancaire bien connue de moi, une banque fut désignée volontaire d'office pour ouvrir
le bal : la BNP, les autres suivent une à une : SG, LCL, CM etc...
Résultat : la monnaie
scripturale disparaît de vos comptes en banques, par prélèvements de frais,
d'agios, et de frais encore et encore, rien que du fait d'être obligé d'avoir
un compte ouvert chez ces décidément bien mauvais "Tiers-détenteurs"
! Autrement dit, on nous fait payer l'obligation contre notre gré, avec la
complicité réciproque permanente : État-Banques.
Comme ce n'est pas
encore suffisant, puisque les banques sont en perpétuelle faillite, dorénavant en
aggravation constante, depuis maintenant 30 ans, en grande partie à cause de l'État,
gourmand de crédit, il a été décidé que votre épargne, en prison à la banque
obligatoirement puisque les paiements en espèces fiduciaires sont limités à
300, 750 ou 1000 euros ( au-delà de 3000, vous êtes signalés au fisc ! ),
serait confisquée intégralement au-delà de 100.000 € en dépôts ! Ceci dans
l'hypothèse où la banque serait en faillite ouverte, elle est autorisée à vous
prendre tout, pour... tenez-vous bien : se renflouer !!!! C'est la fameuse
directive européenne dite : BRRD. Mais ce sont seulement les petits qui sont
visés ! Les gros, ou encore GROSSES entreprises, ne sont pas... ponctionnables,
a priori, du moins avec un tel cynisme. A cause sans doute de leur gros impact
immédiat sur l'économie, trop visible.
Toutes ces raréfactions
progressives depuis 1974 mais accélérées depuis 20 ans semblent bien avoir pour
cause la raréfaction tout court de la masse fiduciaire française en France.
Selon un graphique portant sur la "POSITION DE LIQUIDITE DE LA
FRANCE" disponible sur le site Banque de France, très technique pour vous,
97% des refinancements bancaires pour un total d'environ 75 Mds € sont des LTRO
(2) et à 3% des MRO. Les LTRO sont alimentés par des avances de la BCE. Les
contreparties monétaires à ces financements s'établissaient également en Mars
2015 ( je n'ai rien reçu depuis ), au même total en Réserves Obligatoires
(R.O.) du Cartel bancaire français chez la BCE. Ces R.O. représentaient 40% de
l'ensemble de la liquidité bancaire. 60%, donc, étaient constitué des
"Facteurs autonomes" : les billets fiduciaires en euros, pour environ
105 Mds €. Le problème de ces "facteurs autonomes de la liquidité
bancaire" c'est justement qu'ils sont autonomes et qu'ils
"manquent" ainsi à la trésorerie bancaire... Qui aimerait bien se les
approprier et les voir disparaître ! Voici ce qu'il en est au plus près :
1- En l'an 2000, je vois
une moyenne des avoirs en Or et en devises de la Banque de France de 71,5 Mds
€, pour 44,3 Mds émis en billets en euros, donc largement couverts à
161,40 %.
2- Le 27 Octobre 2015 dernier : 134,3 Mds en Or et en devises pour 195,4 Mds émis en billets en euros donc une
couverture de seulement : 68,73 % ! En
15 ans : baisse de - 57,42 % de la convertibilité des billets en euros !
L'EUROSYSTEME relève du même
phénomène : 381,8 pour 354,6 => couverture des billets émis dans toute la
zone euro à 107,67 % en l'an 2000. Le même 27 Octobre 2015 dernier : 619,1 pour
1052,4 émis soit une couverture à seulement : 58,83%. Soit une baisse de la convertibilité
de tous les billets en euros de l'Euro Système de - 45,36 %.
La France est donc passée d'une
bien meilleure situation que l'Euro Système à une situation à peine supérieure
dans une inconvertibilité générale de plus en plus grave... Quant à la masse
fiduciaire en billets, incluse dans M1 égale à 728 Mds, elle n'est que de 105
Milliards d'euros. La masse monétaire totale française était fin Septembre
dernier de 1.941 Mds €. La solvabilité en caisse espèces proprement française
était donc de 105/1941 = 5,41 %, mais avec l'ensemble de la circulation fiduciaire,
dite "facteurs autonomes" ! (3)
Conclusion d’ECO 3 :
Nous voyons donc clairement que l'arrivée massive de billets en euros dans les
caisses des banques leur permettrait de se passer des contreparties en
refinancements LTRO+MRO, d'où un premier objectif : accélérer la disparition de
la liquidité encore "libre" des particuliers ! Comme même avec la
"prise" de tous les billets en totalité, cela ne représente encore
que 195,4 sur 728 Mds, la "menace" sur la solvabilité à vue des
banques est de 272,57 %, soit la différence à trouver : 728 - 195,4 = 532,6 Mds
! D'où le deuxième objectif, parfaitement cynique, de diminuer la menace en
érodant par tous les moyens (frais, agios, et même ponctions pures et simples)
les dettes des banques : à savoir, au moins les dépôts à vue des particuliers,
part importante du total des passifs bancaires. Masquer cette insolvabilité et
cette faillite écrite dans les faits depuis 1986, et en aggravation constante, voilà
le seul souci du cartel bancaire auquel l'État ne peut que déférer servilement
puisqu'il en profite tout aussi cyniquement ! Mais on voit quand même que
sortir de l'euro, (FREXIT) ne nous causerait aucune aggravation directe par
rapport à notre inclusion actuelle dans la zone. Nous serions tout simplement dans la même situation...
Ma Conclusion Générale du Jour : Pas de travail, pas de
crédit, et soldes confisqués par les Tiers-détenteurs indélicats, les
particuliers sont aujourd'hui menacés très gravement dans leur souveraineté et
leur indépendance personnelle. C'est de la LIBERTE qu'il s'agit, la vôtre, la
nôtre. J'ai déjà dit auparavant que l'État devait payer en Francs, au moins
fiduciaires ( billets et simples jetons au moins ), comme avant 1981 : la totalité
des payes des fonctionnaires, des prestations sociales, etc.... Le risque que
des billets passent à l'étranger de la part des "petits" est
marginal. Un contrôle des changes rétablirait provisoirement la protection de
l'économie française en interdisant en grande partie les importations. La
production des biens, actuellement importés, serait alors relancée en France
même, et certains parlent alors de plus de 2,6 millions d'emplois recréés en
deux à trois ans, comme en 1968-1970 sous COUVE DE MURVILLE, même si la
situation était moins catastrophique et différente puisqu'alors sans impact
économique de la part de la monnaie. La LIBERTE rétablie d'avoir ou non un
compte bancaire ferait revenir le respect pour les redevenus "clients"
chez les banques, fini les esclaves actuels. Les revenus redevenus libres dans
une Codification du travail allégée à quelques articles seulement du Code Civil
rétablissant la liberté de tous d'embauche et de débauche, de négociations des
contrats individuels, employeurs comme employés vaudrait ce que vaut la LIBERTE
: la richesse retrouvée ! Du coup, le Franc redeviendrait recherché et non plus
fuyant, en quelques années. Mais, pour cela, le Gouvernement doit remettre les
banques à leur vraie place de SERVICE et les obliger à oublier celle de
dictateur de la population ! Les banques doivent revenir dans le DROIT COMMUN à
tous les agents économiques et jouer à 100% avec la monnaie fiduciaire, sans avoir
le droit d'en inventer, et donc rester solvables comme tout un chacun. Je pense
que de nos jours, n'importe quel particulier est plus solvable qu'une banque. Faites
le calcul vous-mêmes : avez-vous plus ou moins que 5,41 % de valeurs concrètes
sincères, véritables et sérieuses, par rapport à vos engagements de trésoreries
et financiers ?
1) "Long term refinancing
operations" : généralement appelées LTRO, sont des prêts à long terme
accordés aux banques par la Banque centrale européenne. Wikipédia
Les opérations « d'open market »,
c'est-à-dire « effectuées aux conditions de marché », répondent à trois
finalités :
- pilotage des taux
d'intérêt,
- gestion de la
liquidité bancaire
- et signal
d'orientation de la politique monétaire.
Elles sont effectuées par voie
d'appels d'offres réguliers ou ponctuels, ou par le biais de transactions
bilatérales. Elles sont constituées :
- des
opérations principales de refinancement (MRO
: Main Refinancing Operations)
Ces appels d’offres hebdomadaires constituent l'instrument essentiel de refinancement et de pilotage des taux d'intérêt à court terme. Les concours octroyés par cette voie prennent la forme de cession temporaire (prêts garantis par la prise en pension d’actifs). Ces concours sont d'une durée d'une semaine ; - des
opérations de refinancement à plus long terme,
c’est-à-dire, d’une durée supérieure à une semaine (LTRO « Longer-Term Refinancing
Operations » & VLTRO « Very Long Term Refinancing
Operations)
Dans le cadre conventionnel, il n’existe qu’une forme de LTRO, d’une maturité de 3 mois. Leur nombre s’est accru à partir de 2007 du fait de la crise avec des maturités plus nombreuses allant jusqu’à 3 ans. - des opérations de réglage fin : Ces opérations permettent de faire la jonction entre deux autres opérations de refinancement. Leur durée est variable. Elles peuvent être mises en œuvre afin d'atténuer des chocs sur la liquidité bancaire et permettent, le cas échéant, de piloter l'évolution au jour le jour du taux du marché monétaire. Contrairement aux précédentes, elles sont effectuées avec un cercle plus limité de contreparties agréées à cet effet par les banques centrales nationales et choisies dans chaque État membre parmi les établissements les plus actifs sur le marché monétaire. Elles peuvent revêtir des formes variées : opérations de cession temporaire, swaps de devises contre euros, reprises de liquidités. Ces opérations sont lancées, en tant que de besoin, à l'initiative de la BCE, et peuvent être exécutées par voie d'appels d'offres rapides ou sur la base de transactions bilatérales négociées avec les contreparties ;
- des opérations structurelles : Ces opérations sont réalisées sous forme d'opérations de cession temporaire ou d'émissions de certificats de dette du SEBC. Elles ont pour vocation d’agir durablement, si besoin est, sur la liquidité bancaire. Les opérations de cession temporaires peuvent servir à des apports de liquidités de longue durée au système bancaire et les émissions de certificats de dette, à accroître son besoin de refinancement.
3) Source BDF ; Économie et
statistiques ; évolutions monétaires en France Septembre 2015, mise en ligne le
27 Octobre 2015.
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