mardi 25 novembre 2014

La Grande Découverte :



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Chroniques reprises, ou citées, aux liens suivants :
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CHRONIQUE économique « FINANCES – VERITES » 
N°137
  
errare humanum est, PERSEVERARE DIABOLICUM

Mercredi  26 NOVEMBRE 2014

Madame,
Mademoiselle,
Monsieur,


Alors que tout le monde parle partout de "LA Krrriiise" qui serait vécue depuis 2008, qui s'aggraverait et deviendrait insoluble, je voudrais rappeler ici qu'il ne s'agit, en fait, que d'une copie, conforme à l'original de Sir John LAW. A son époque, la monnaie manquant pour la guerre, il proposa au Souverain français, de signer des billets au porteur en grand nombre, espérés payables, bien sûr, à tout instant en bonnes espèces "sonnantes et trébuchantes" à souhait. Comme il savait que l'encours total allait dès le départ, dépasser les contreparties en Or et Argent disponibles, il adossa leur solvabilité finale à l'économie en émettant des actions, par exemple de telles "Compagnies"... L'idée était bonne mais trop en avance sur le XXème siècle qui la généralisa et la rendit obligatoire avec le "Cours forcé". Émis en trop grand nombre, leur solvabilité fut rapidement compromise par trop de retraits et le "système" fut honni... durant un temps. La Grande Révolution a repris l'idée à son compte avec les fameux "Assignats", lesquels subirent le même sort ! De nos jours, l'idée reprise depuis les "Accords de BRETTON-WOODS" près de WASHINGTON en 1944, sera également prochainement... honnie ! Car la "bulle" monétaire, bancaire et économique a été gonflée comme jamais dans toute l'HISTOIRE de l'Humanité ! La faillite n'en sera que plus dure à supporter. Elle est tellement grosse que personne ne peut arriver à l'imaginer...

Depuis 1944, conformément à cette VERITE dite par Abraham LINCOLN pour mieux l'appliquer : "Mentir une fois à tout le monde, ou tout le temps à une personne est possible, réalisable et même commun. Mais mentir à tout le monde, tout le temps, est chose aventureuse, condamnée à terme à l'échec". Voilà, je cite de mémoire mais c'est cela. Ce qui m'amène à tenter aujourd'hui de vous expliquer à ma manière :  

« L'HISTOIRE : la grande, par les petites !… »
 

1) Dans l’ACTUALITE économique générale : ECO 1 :

« L'emploi économique sans problème général !… »

Dans les années 1963-1968, les choses étaient bien différentes de ce qu'elles sont devenues dans les années 1981-2014. Le seul chômage dit : "de frottement" existait à la hauteur marginale et peu perceptible alors de... 2 % ! Ce volant de chômage est enseigné dans les cours d'économie politique comme étant à la fois difficilement compressible et, probablement, nécessaire pour saisir les opportunités de créations potentielles d'entreprises sans obliger à aucune reconversion des emplois exercés alors...

En Septembre 1963, avec un excellent BEPC par-dessus un excellent, aussi, Certificat d'Études Primaires, l'avenir était ouvert à toutes les espérances dans n'importe quelle spécialité professionnelle. Quitter, à 17 ans et demi, le cursus scolaire d'enseignement général ne présentait aucun handicap, au contraire. La langue française était parfaitement maîtrisée avec zéro faute d'orthographe dans les dictées les plus difficiles, les mathématiques maîtrisées avec du 40/40 en algèbre, les Sciences naturelles maîtrisées avec une connaissance approfondie de la moitié des Pays du monde dans tous les domaines : géographie, géologie, climats, histoire, etc... Il était possible de continuer à approfondir ses connaissances générales par le téléenseignement et de suivre le cursus de trois années menant au Baccalauréat complet dit : "Maths'Elem". Cela n'empêchait pas de faire son entrée dans la vie active. L' "emploi aux écritures" ne posait aucun problème avec ce bagage. L'emploi général en France ne posait aucun problème non plus à trouver dans les deux semaines, dans toutes les branches, depuis l'apprentissage jusqu'à l'employé, appelé alors à devenir d'abord contremaître ou gradé, puis éventuellement, pour les meilleurs : cadre, après dix ans d'expérience complète de l'entreprise en "passant par tous les services", comme on disait.

L'employé percevait alors un salaire de l'ordre de 450 NF (Nouveaux Francs) par mois. Cela ne lui permettait pas de vivre seul et il ne pouvait que participer aux frais familiaux, en versant mensuellement à sa mère une partie de son salaire. Le père devait alors admettre de laisser son enfant "toucher" son salaire, bien qu'il soit mineur, jusqu'à 21 ans. Et il le recevait de la caissière de son employeur en billets et pièces officielles. La feuille de paye était très simple (cf. : voir mes précédentes chroniques). Les fonctionnaires percevaient alors leurs traitements, également en billets de la Banque de France et pièces du Trésor Public. Le compte en banque était réservé aux gens fortunés ou aux commerçants recourant à l'escompte, et la banque était encore ce que le premier cours de technique bancaire du CAP appelait : "Cette grande dame impressionnante dont peu de personnes poussaient la porte d'entrée" ! La lettre de change, signée en 10 exemplaires à dates d'échéances mensuelles successives, permettait à ce jeune-là d'acheter une mobylette bleue fabriquée par MOTOBECANE, l'entreprise de Marcel DASSAULT, qu'éliminèrent les petites motos japonaises dans les années 70/80. Il venait alors les régler, de lui-même, chaque mois au concessionnaire qui les lui rendait acquittées, en bonne et due forme. Le concessionnaire pouvait aussi les remettre à l'escompte chez sa banque qui lui remettait alors un bordereau d'escompte rédigé par un employé titulaire de son CAP Banque. La banque présentait alors la traite pour paiement au domicile du débiteur, via le facteur des PTT, exactement le Jour "J" de l'échéance, ni avant, ni après. Le débiteur payait en monnaie officielle (Billets et pièces) le montant au facteur. Ledit facteur des PTT pouvait également apporter la monnaie correspondant aux mandats adressés à ce jeune à son domicile. Les Allocations familiales étaient portées de même aux Parents... Le Facteur n'avait pas peur car la France était un Pays civilisé, où chacun avait à cœur de vivre "en bon Chrétien" c'est-à-dire honnêtement. C'était avant Vatican II et l'arrivée du protestantisme à 50% dans le catholique officiel. Cette tare aboutit à l'invasion de l'Islam, devenu en 2014, une menace mortelle.

Les CAISSES d'Allocations Familiales (CAF) ou celles de Sécurité Sociale payaient essentiellement à leurs guichets, en monnaie officielle, toutes les prestations ! C'était avant que les banques monopolisent les transactions pour masquer leur insolvabilité grandissante...

Conclusion d’ECO 1 : C'est dans les années 80 que tout le système changea. Les "Caisses" devinrent vides et se mirent à remettre des chèques... d'abord payables A VUE, en "espèces", aux guichets d'une banque d'à côté. Puis, très vite, les chèques furent barrés et donc rendus encaissables seulement sur un compte bancaire ou assimilé, chez un Agent de Change ou un Établissement Financier de Portefeuille par exemple. La bancarisation à outrance devint très vite, après 1986, une OBLIGATION pour tous. Les banques virent arriver à leurs comptoirs une clientèle nouvelle qui jusque-là ne connaissait que les guichets de la sécurité Sociale... Une faune qui s'avéra très vite n'avoir qu'une très faible, voir inexistante, moralité. D'où la multitude de lois et règlements qui étouffèrent très vite les anciens et les meilleurs à partir de 1979. C'est ce qui fut appelé la "démocratisation" du compte en banque... Comme par hasard, le chômage des anciens travailleurs répondit à l'emploi précaire des jeunes. Avant 32 ans, rien de concret. Après 45 ans : "bon à jeter". A 55 ans : en "préretraites" forcées selon ce nouveau terme sorti des intellects ravagés de la Franc-maçonnerie... Puis dans les années 2010 et suivantes, à 65 ans et plus, retour à l'emploi précaire obligatoire pour combler les trous de pensions de retraites, réduites par les ministres peu scrupuleux de respecter les promesses faites à tous ces "cochons de payants" de l'âge de 17 ans et demi à 45 ans... jetés au chômage d'abord, puis à la poubelle ensuite. Mais les morts-vivants de l'économie mondialisée sortent de leurs tombes... en 2014, après 20 ans sous terre !


2) Dans l’ACTUALITE économique financière : ECO 2 :

« La collecte difficile des dépôts !… »

Dès les débuts dans la banque, un employé, non titulaire en attendant l'obtention de son CAP obligatoire, apprenait les difficultés des banques privées, libres, dites "commerciales", à "collecter les ressources" nécessaires à leur commerce. Il fallait être respectueux jusqu'à l'obséquiosité, en 1963-1968, envers les "CLIENTS", ces êtres "sacrés" que l'employé devait servir dans les trente secondes maximum, sauf à recevoir un coup de pied au cul du Chef de Service, tous les deux bien réels. Ouvrir des comptes au guichet pouvait être rémunéré par des sous-commissions du Chef de Service, proportionnelles et dégressives, sur le montant des dépôts enregistrés durant deux ans. Ouvrir un compte de dépôts avec, en annexe, un CSL (Compte sur Livret), et un CAT (compte à terme) de 400.000 francs du premier coup équivalait à la "Couronne du démarcheur", à 18h00, une demi-heure avant la fermeture ! Les horaires d'ouvertures au public étaient alors : 8h00-12h00 et 14h00-18h30. Les employés devaient pointer à 7h45 du matin pour tout préparer et être prêts, le stylo à la main pour 8h00. Ils devaient rester jusqu'à 12h30, puis après déjeuner, reprendre à 13h45 jusqu'à 19h00. Toujours une demi-heure après ou avant les ouvertures et fermetures au public. Mais les heures supplémentaires étaient courantes, car TOUT se faisait à la main...

Faire des arrêtés de comptes courants, la quasi-totalité du temps ouverts à des commerçants ou des entreprises, appartenait au titulaire du Brevet Professionnel de Banque (BP). Faire l'étude critique des documents comptables d'une entreprise avec diagnostique et élaboration d'un type de crédit adapté également. Cette étude était remise au directeur d'agence de la banque, qui l'approuvait et le proposait alors au client, demandeur d'aide à l'investissement, à l'exploitation ou à la trésorerie. Le diplôme du BP était ouvert aux titulaires d'un excellent BEPC et, pour les titulaires du baccalauréat, dès la seconde année du cycle de trois ans. Le Brevet Professionnel, diplôme de Bac plus deux, ouvrait droit à exercer le métier de banquier, donc de créer sa propre banque !

La collecte des dépôts qui devait permettre ensuite le consentement de crédit pour une part seulement de ceux-ci, aux bons soins de la DIRECTION des ENGAGEMENTS de la Banque, était rendue difficile par la concurrence entre les banques commerciales dites "de Dépôts" comme le Crédit Lyonnais, la BNCI (1), la Société générale... et les deux réseaux des : CCP (Comptes Chèques postaux) et Crédit Agricole. Les dépôts aux CCP étaient, dans les années soixante, de 23 Milliards de Francs et, je m'en souviens encore, nous rêvions de les voir venir se placer au Crédit Lyonnais...

Conclusion d’ECO 2 : Ce fut au Crédit Lyonnais, justement, que furent pratiquement inventées toutes les innovations, expérimentées dans ses deux réseaux indépendants : la DAPA (Direction des Agences de Province et d'Afrique) et la DAP (Direction des Agences de Paris) dont les procédures comptables, commerciales et financières étaient radicalement différentes et mêmes... concurrentes ! Malheureusement pour cette banque ce fut la DAP qui l'emporta après que le Sieur SCHLOGEL ait "viré" le petit-fils du fondateur (Henri GERMAIN) lequel persistait à diriger le CL depuis Lyon. La nouvelle Direction générale, en passant par la faillite, réduisit le Crédit Lyonnais, banque privée, nationalisée seulement au sein du Capital social, prestigieuse, au logo de CL, avant de l'être en LCL, voir en e-CL... Car la DAPA était parfaitement construite sur le plan comptable, centrée sur Lyon, ignorée de la DAP, elle centrée sur Paris, ce qui causa la complète perte de "sens" de la Direction générale en 1970, vérolée par une sous-direction nouvelle : la DICOP (Direction de la Comptabilité et du portefeuille), de sinistre mémoire pour moi. Le Crédit Lyonnais des Provinces et d'Afrique inventa : "La Banque assise" que tout le monde trouve "normale" depuis les années 90. Il inventa aussi la méthode de vente dite : "S.O.N. C.A.S. (2)" pour la découverte du Client, qui concurrençait valablement encore dans les années 70's la méthode ROTHSCHILD qui reste toujours la meilleure du monde. Et puis, l'élaboration à la main de tous les bordereaux d'escompte, avec les progrès de la mécanisation, firent découvrir la nouvelle méthode de "L'Escompte BRUT POUR NET" avec bordereau décalé dans le temps. Un progrès extraordinaire dans les écritures manuelles fut pratiqué couramment avant 1970 : la LIASSE, copiée par toutes les banques et bien des entreprises, en sus des administrations, dont la plus performante, la DAPA 17.011 à onze feuillets auto-carbonés, prédécoupés, assignés, ordonnés, ordonnancés, comportant toutes les parties, contreparties, archives, documents comptables et informatifs d'un transfert, intra ou interbancaire, comme national ou international. L'Arrêté de Compte Courant par "la méthode Hambourgeoise", plus achevée que les méthodes directes ou indirectes pratiquées aux CCP et ailleurs, fut appliquée au CL. Un employé de banque titulaire de son CAP devait les connaître et les maîtriser toutes. Titulaire du Brevet professionnel, il devait aussi connaître les comptabilités bancaires, collectives et, avec l'ITB, l'anglo-saxonne... Son professionnalisme garantissait encore, jusque dans les années 80, la collecte des ressources et, en partie, leur distribution en crédits divers. Avec la connaissance de tous leurs risques et dangers, externes et internes à la banque : risques politiques, commerciaux, financiers, industriels, naturels, et autres comme le penchant interne pour la "transformation" des dépôts à courts termes en crédits à longs termes... Cette "transformation" est à l'origine de toute la faillite actuelle des banques, cartellisées à partir de 1985, à la suite de la faillite de la Banque de France sous MITTERRAND, en violation du Code Civil, pour la masquer jusqu'à 2007... et depuis de moins en moins bien.

1) B.N.C.I. : Banque nationale pour le Commerce et l'Industrie, qui fut fusionnée plus tard avec le C.N.E.P. (Comptoir National d'Escompte de Paris) pour devenir la BNP !
2) Les motivations des clients étaient regroupées en : Sympathie, Orgueil, Nouveauté, Commodité ( = proximité avec Agences), Argent ( = Intérêts), Sécurité. La détection des motivations du client permettait de lui proposer des solutions compatibles avec ses besoins.


3) Dans l’ACTUALITE économique monétaire : ECO 3 :

« la disparition de la monnaie libre !… »

Dans les années soixante, 85% des règlements s'effectuaient en monnaie libre, alors principalement constituée de "Billets de la Banque de France", à VUE, au PORTEUR dont les plus célèbres étaient les billets de 5 Francs PASTEUR, de 10 Francs VOLTAIRE, de 50 Francs HENRY IV, 100 Francs BONAPARTE et 500 Francs Molière. Ce dernier était si peu répandu que des gens le refusaient, faute d'en connaître l'existence ! J'ai eu de tous ces billets entre les mains. Ils étaient magnifiquement fabriqués et bien rédigés, imprimés et gravés en "taille douce". Les pièces étaient encore, pour certaines, à forte teneur en Argent-métal, selon l'ancienne coutume, comme la fameuse 5 Francs SEMEUSE, bien cotée aujourd'hui. Puis, dans les années soixante-dix, la fameuse 50 Francs HERCULE et la CENT FRANCS... Mais, tous ces reliefs de monnaies d'Argent finirent par disparaître sous MITTERRAND au seul profit des jetons de vils métaux et d'encore plus de billets, comme le 200 Francs MONTESQIUEU. La "taille douce" fut oubliée, réputée trop chère... Puis la monnaie EURO fit son apparition en 2002 dont les billets n'ont plus aucune valeur juridique en France, mal rédigés, incomplets, non signés légalement, et les pièces toujours de la qualité : JETON !

En 2014, je vous l'ai déjà explicité maintes fois, la monnaie "LIBRE" car anonyme et transmissible "par simple tradition" soit "de la main à la main", est en voie de disparition complète avec un stock encore en circulation de moins de 2% de la masse monétaire, chiffré récemment par moi dans ma chronique à 0,67%, composée d'encours en banques dont la solvabilité est largement inférieure aux 9,5% requis, vers... 0,5% !? La comptabilité parle, là où la propagande médiatique sévit. Et pourtant la comptabilité est truquée et dopée aux estimations surévaluées des actifs, avec rangements hors bilans des dettes qui fâchent... La solvabilité bancaire se rapproche asymptotiquement du zéro réel, absolu et imparable. Un véritable ZERO cosmique...

Conclusion d’ECO 3 : L'ETAT actuel de la monnaie démontre et explique avec le recul de 70 à 250 ans, pourquoi la LIBERTE générale et la souveraineté individuelle ont disparu. Pire, le corps social, les instances collectives, les comptes individuels sont dopés à la drogue de la monnaie-crédit sans provision préalable et disponible ! D'où toutes les dérives actuelles dans tous les domaines payées par l'illusion de pseudos "Avoirs", de... sable.

 
Ma Conclusion Générale du Jour : Dans les années soixante encore, la Banque était un métier qui ne garantissait à ses employés, à l'instar de l'ensemble du monde financier, que "La Misère en faux col" par des rémunérations très faibles arrachées aux clients difficiles à fidéliser avec des taux comme : 0,10%, ou par exemple une "Commission d'endos" de 0,40%. Comparez-les avec les FRAIS et AGIOS exigés en 2014 allant de 10% à... plusieurs centaines de % ! A la bourse de Paris, un GROOM pouvait devenir d'abord "Commis d'Agent de Change". Il recevait alors un salaire annuel correspondant à l'achat de son costume de travail : Queue de Pie et haut de Forme, Gilet assorti, souliers vernis, chemise à... faux col ! Dans la banque, la chemise blanche avec cravate et le costume deux ou trois pièces était de rigueur au contact de la clientèle en 1963-1970. Ces tenues offrirent alors le prétexte au PCF, et sa filiale la CGT, pour dénoncer les pseudos "richards" photographiés, ou caricaturés, gravissant les marches du Palais Brongniart, ou qui peuplaient les agences bancaires alors réservées aux supposés... "riches" ! En fait, tous les employés vivaient de salaires insuffisants pour payer ne fut-ce que la location d'une chambre de bonne à Paris ou d'un petit studio à Ste-Geneviève des Bois à 500 NF de loyer mensuel en 1967... Ce fut seulement à partir de 1973 que les salaires permirent enfin de vivre chez soi, en famille. Il n'y a jamais eu de "trente glorieuses" comme le prétendent les cours de l' "Éducation Nationale", laquelle est restée en 2014 : communiste, anarchiste, anticléricale, antisociale, post soixant'huitarde... et maintenant carrément dépravée. Voilà quelques petits faits qui doivent, rappelés pour vous, éclairer l'HISTOIRE, la VRAIE, laquelle nous explique que ce que nous vivons en 2014 en France, qui n'est que la conséquence logique de la prétention incommensurable de certains à vouloir s'approprier le monde entier.

Je vais vous confier un "secret" : tous ces prétentieux, qui se croient supérieurs et de la "race élue" par leur Dieu guerrier, méprisent les Autres, les chrétiens surtout ! Eh ! Bien, voilà ce qu'il en est de leur soit-disant "supériorité" : habitués qu'ils sont à s'enrichir en usant le travail des autres, ces usuriers, autrement dit, ont cru qu'ils pourraient ainsi "user" tout le travail et se l'approprier avec des "Billets" sans valeur aucune que leur seule "parole", laquelle ne vaut absolument rien ! Tous ces bourgeois, qui osent, depuis 250 ans, jouer aux aristocrates, abusant le peuple, ont cru que leur système bancaire et financier pouvait tenir le monde. En fait, comme dans les meilleurs Fables de Monsieur Jean DE LA FONTAINE, ce qui devait arriver arriva : ils émirent tellement de billets que dorénavant ils essayent de faire croire à ce qu'ils n'ont même pas encore compris eux-mêmes, à savoir que 99,5 pourrait rentrer dans... 0,5 ! Ce qu'un bébé d'un an et demi comprend tout seul avec son jeu de cubes, les Gouvernants formés à la Finance mondiale, le découvrent tout à coup depuis 2008. Leur immense "Connerie" les effraye soudain ! Ils découvrent soudain que l' "on ne peut pas tirer du sang d'une pierre" et que le Peuple ne peut plus "suer" 1990 fois ce qu'il possède ! La tumeur a tellement grossi qu'elle est désormais 1990 fois plus grosse que le corps dit "social"... Voilà le secret révélé qui effraye tant les usuriers reconvertis en Gouvernants, automatiquement totalitaires et, bien sûr, conduits aux génocides partout.

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